Après le résultat des élections législatives qui donne une majorité relative au gouvernement, la CPME a pris la parole dans les médias pour appeler à lutter contre l’immobilisme politique dans un contexte où le pays nécessite d’être réformé. Elle a spécifiquement appelé le gouvernement à tenir ses promesses concernant la réforme des retraites et le vote du projet de loi de Finances (PLF).
Instabilité politique, réforme des retraites, baisse des impôts de production, partage de la valeur…Retrouvez les priorités de la CPME pour le quinquennat qui arrive.
Mardi 21 juin
- François Asselin rappelle dans le journal de l’Eco de Radio Classique, que la priorité est de mener à bien la réforme des retraites. Dans un contexte incertain, l’inquiétude pointe sur le risque d’immobilisme du gouvernement afin de traiter les dossiers économiques pour apporter des solutions à la crise. A réécouter ici. (à partir de 1min30)
- Sur France Inter, dans le journal de 8h, Jean-Eudes du Mesnil appelle à éviter les « blocages stériles » pour engager les réformes promises, prioritairement la réforme des retraites qui pourrait s’enliser dans des débats parlementaires. A réécouter ici. (à partir de 6min)
- Dans l'émission Apolline Matin sur RMC de 7/8h, il s'inquiète du frein que pourrait représenter l'instabilité politique pour le vote de la baisse des impôts de production. A réécouter ici. (à partir de 4min45)
Mercredi 22 juin
- Dans Bloomberg, Eric Chevée insiste sur un partage de la valeur proportionné en arguant qu’à leur échelle les TPE-PME n’ont pas les mêmes moyens que les grands groupes et que cela ne doit pas remettre en cause leur viabilité. Il ajoute que le partage des dividendes « ne règlera pas tous les problèmes en entreprise ». A relire ici. (en anglais)
Jeudi 23 juin
- Dans Le Monde, François Asselin a partagé son inquiétude pour l'avenir de l'économie au regard du blocage législatif potentiel. Il ne s'agit pas seulement de la réforme des retraites explique t-il mais bien de toutes les réformes nécessaires: amélioration de la « compétitivité » de notre économie, réduction du « coût du travail », refonte du « système de santé » et de « l’éducation nationale », etc. A relire ici.